Nous entendons souvent parler du point G. Ce dernier alimente de vifs débats tant sur son emplacement que sa sensibilité réelle. Si vous aimiez en apprendre davantage, les prochaines lignes devraient vous concerner.
Qu’est-ce que le fameux point G ?
La notion du point G est héritée d’un médecin allemand du nom d’Ernest Grafenberg. Ce gynécologue a formellement identifié cet endroit en 1940. C’est une zone située à 3 cm de l’entrée du vagin. A ce point, la muqueuse est légèrement bombée et d’aspect rugueux. Cette aspérité permet de mieux ressentir les stimulations. Le médecin sexologue Catherine Solano indique qu’il ne sert pas à grand-chose de stimuler le point G avec vos propres doigts avant les ébats. Il vaut mieux attendre le bon moment de le faire.
Que faire pour stimuler cet endroit ?
Le point G n’est pas perceptible lorsque la muqueuse intravaginale est au repos. L’aspect légèrement rugueux n’apparaît que lorsque la femme réagit aux stimulations. Ainsi, l’exploration de cette zone devrait se faire après d’assez longs préliminaires. Le fait que le point G soit proche de l’urètre donne parfois l’impression d’avoir envie d’uriner. C’est ce mélange de sensation qui provoque l’orgasme, souvent par surprise. Afin d’éviter tout amalgame, il vaut mieux se vider la vessie avant de faire l’amour.
Astuces pour en faire une machine à plaisir
La stimulation du point G sera mieux réussie avec des positions sexuelles appropriées. Le couple devrait découvrir la meilleure méthode de frotter pile à cette zone râpeuse. La position du missionnaire reste une excellente manière de l’atteindre. La posture d’Andromaque pendant laquelle la femme prend le dessus et se penche en arrière devrait aussi fonctionner. Parfois, le recours aux jouets sexuels pourrait aussi aider à ressentir des effets intensément plaisants. L’essentiel serait d’arriver à cibler exactement la zone qui procure le maximum de plaisir. Quoi qu’il en soit, c’est une expérience à partager à deux.